Silencieusement, tout se déplace
est une installation vidéo contemplative qui célèbre la diversité du vivant et ses territoires. Inspirée des images de documentaires animaliers, l’œuvre rend hommage à ces films qui révèlent la beauté du monde naturel, tout en soulignant sa précarité.
Présentée sous la forme d’une double projection vidéo immersive, l’installation juxtapose des scènes d’animaux en mouvement à des paysages naturels modelés numériquement. Le montage évoque un glissement constant entre les éléments, une circulation lente et organique d’un écosystème à un autre.
À travers une esthétique de l’altération visuelle — textures brouillées, formes étirées, décalages de couleurs — les images se délitent doucement. Ces déformations numériques suggèrent la disparition progressive des milieux documentés, comme si ce qui nous est montré était déjà en train de s’effacer.
Sans narration, sans début ni fin, Silencieusement, tout se déplace propose une lecture sensible du monde vivant. Elle invite à contempler la richesse de ses formes, tout en laissant percevoir, en creux, l’empreinte de ce que nous risquons de perdre.
Présentée sous la forme d’une double projection vidéo immersive, l’installation juxtapose des scènes d’animaux en mouvement à des paysages naturels modelés numériquement. Le montage évoque un glissement constant entre les éléments, une circulation lente et organique d’un écosystème à un autre.
À travers une esthétique de l’altération visuelle — textures brouillées, formes étirées, décalages de couleurs — les images se délitent doucement. Ces déformations numériques suggèrent la disparition progressive des milieux documentés, comme si ce qui nous est montré était déjà en train de s’effacer.
Sans narration, sans début ni fin, Silencieusement, tout se déplace propose une lecture sensible du monde vivant. Elle invite à contempler la richesse de ses formes, tout en laissant percevoir, en creux, l’empreinte de ce que nous risquons de perdre.