L’image virtuelle et les technologies numériques sont omniprésentes dans notre quotidien : elles nous suivent dans nos espaces de vie autant que dans les espaces publics. Par l’exploration des textures et des techniques du textile, mon travail donne une matérialité aux images numériques et questionne notre perception du réel. Bryophyta-etude comparée, utilise la technique du point de croix en broderie pour reproduire le pixel de l'écran. Les cadres lumineux qui entourent les broderies, renforcent l’aspect écranique de l'œuvre et viennent créer l’illusion sur la nature de l’objet qui est presenté.
Au-delà de l’environnement numérique qui nous entoure, j’ai voulu présenter dans cette œuvre une piste vers la réconciliation entre les nouvelles technologies et le combat pour le monde vivant. L’image qui à servi de support pour le visuel est une photographie de mousse. La mousse est l’une des plus anciennes espèces vivantes à avoir recouvert l'entièreté de notre planète. Elle est donc un symbole fort de la résilience de la nature et de sa capacité à perdurer. La mousse est un sujet esthetique interessant car elle est connue par tout le monde et evoque les sensations de conforts et de quotidiennete. Elle attire peu l’oeil. De ce fait, le medium de la broderie qui est majoritairement considerer comme un medium peu noble car il evoque la feminite, la quotidiennete et l’utilitaire fait echo au choix de la mousse comme sujet de mon oeuvre.
Malgré sa grande capacité d'adaptabilité, et comme toutes les espèces vivantes, la mousse est menacée par la crise écologique que nous traversons. J’ai donc voulu la représenter de deux couleurs différentes et en m’appropriant les codes esthetique du numerique, une verte représentant la mousse que l’on connaît, et une violette qui représente une mousse dystopique. L’aspect pixelisé et glitché du rendu tant à montrer l’instabilité et la lente disparition de notre environnement naturel auquel nous assistons.
Au-delà de l’environnement numérique qui nous entoure, j’ai voulu présenter dans cette œuvre une piste vers la réconciliation entre les nouvelles technologies et le combat pour le monde vivant. L’image qui à servi de support pour le visuel est une photographie de mousse. La mousse est l’une des plus anciennes espèces vivantes à avoir recouvert l'entièreté de notre planète. Elle est donc un symbole fort de la résilience de la nature et de sa capacité à perdurer. La mousse est un sujet esthetique interessant car elle est connue par tout le monde et evoque les sensations de conforts et de quotidiennete. Elle attire peu l’oeil. De ce fait, le medium de la broderie qui est majoritairement considerer comme un medium peu noble car il evoque la feminite, la quotidiennete et l’utilitaire fait echo au choix de la mousse comme sujet de mon oeuvre.
Malgré sa grande capacité d'adaptabilité, et comme toutes les espèces vivantes, la mousse est menacée par la crise écologique que nous traversons. J’ai donc voulu la représenter de deux couleurs différentes et en m’appropriant les codes esthetique du numerique, une verte représentant la mousse que l’on connaît, et une violette qui représente une mousse dystopique. L’aspect pixelisé et glitché du rendu tant à montrer l’instabilité et la lente disparition de notre environnement naturel auquel nous assistons.
